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Témoignages de membres de nos équipes

Découvre ce qui anime au quotidien les membres de notre grande famille, ce qui donne un sens à leurs actions quotidiennes. C’est grâce à leur passion, à leur humanité et à leur expertise que le CHU Sainte-Justine est une référence pour les familles du Québec et pour les centres hospitaliers à l’international.

Donner un sens à sa carrière

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Infirmière auxiliaire

Koralie

Pour Koralie Longval, œuvrer en tant qu’infirmière auxiliaire auprès des enfants est une vocation : « J’ai eu un coup de cœur pour la médecine pédiatrique lors d’une expérience de travail passée dans un centre de soins palliatifs pour enfants. Je tenais tant à faire une différence dans leur vie! C’est la raison pour laquelle j’ai choisi de me joindre au CHU Sainte-Justine », confie-t-elle. 

Occupant un poste au sein de l’équipe trajectoire des soins critiques, Koralie a l'occasion d'être au chevet de patients qui présentent des cas variés tant à l’urgence, qu’en chirurgie et qu’en pédiatrie. Pour effectuer son travail, plusieurs forces lui sont requises au quotidien : « Il faut être dynamique, axé sur la collaboration interprofessionnelle, puisqu’on travaille étroitement avec les infirmières et les médecins, et surtout, intéressé d’apprendre tous les jours. Ici, on voit régulièrement de nouvelles techniques et procédures médicales pour le bien des petits patients que nous soignons, ce qui nous garde toujours à l’affût des meilleures pratiques! », mentionne-t-elle.

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Préposé aux bénéficiaires

Valéry

Vous pouvez le croiser un peu partout dans notre établissement. Valéry Thérance est préposé aux bénéficiaires depuis près de 10 ans au CHU Sainte-Justine, mais son quotidien n’a rien de routinier!

Membre de l’équipe volante, il est appelé à travailler dans une grande diversité de départements dans le but d'aider les patients et leur famille pendant leur séjour.

« Changer régulièrement de secteur de travail, j’adore ça! C’est une surprise tous les jours! » Un aspect de son travail qui le rend fier? Appuyer et faciliter, par sa présence, le travail des équipes de soins avec les patients. « Pendant un moment pas toujours facile, je réussis à mettre un sourire dans la vie des enfants et des parents. Je trouve cela très gratifiant. »

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Technologiste médicale

Hélène

Lorsque Hélène Tanguay a commencé sa carrière au CHU Sainte-Justine en 2008 en tant que technologiste médicale, elle était loin de croire qu’elle y serait encore aujourd’hui : « J’avais accepté l’emploi en me disant que j’y resterais un an, que ce serait une belle porte d’entrée pour avoir de l’expérience, puisque j’habitais très loin. J’ai essayé de travailler dans d’autres laboratoires en même temps, mais je n’ai jamais trouvé la même ambiance et chimie d’équipe que celle qui règne au CHU Sainte-Justine. Le temps de transport n’a rapidement plus été un irritant, car j’ai vite réalisé que j'ai des collègues en or. »

Ayant exercé sa profession au sein de différentes équipes au CHU Sainte-Justine, au centre de prélèvements, en bactériologie, en virologie, au laboratoire central et en hématologie spéciale, Hélène occupe maintenant un poste en tant que technologiste médicale qu’elle trouve fort intéressant : « Les techniques en pathologie sont bien avancées et variées. Je travaille avec des spécimens humains et non pas des liquides, ce qui peut comprendre des autopsies et des biopsies. Ce n’est pas toujours facile, mais c’est toujours intéressant. »

Quand Hélène repense à ce qu’elle préfère de son emploi, la confiance qu’on lui accorde depuis ses débuts compte pour beaucoup « Lorsqu’on fait une technique difficile et que les gens nous font confiance, ça n’a pas de prix. »

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Martine

Hématologie-oncologie

Marie-Hélène

« Mon rôle, je ne pourrais l’accomplir sans mon équipe », déclare humblement Marie-Hélène Colpron, qui s’est jointe à l’équipe d’hémato-oncologie du CHU Sainte-Justine en 2001.

À titre d’infirmière pivot pour les patients atteints de tumeurs cérébrales, cette dynamique professionnelle de la santé participe aux soins et s’assure de faire le pont entre ses patients et les différents soins et services dont ils ont besoin.

« Mon rôle de pivot me permet de connaître mes patients de A à Z, de développer un lien privilégié avec eux. Ça vaut de l’or. Je me sens tellement privilégiée! », raconte-t-elle, avec un mélange de spontanéité et de reconnaissance. Mais rien de tout cela ne serait possible sans ses super collègues, rappelle celle qui croit au pouvoir du travail d’équipe.

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stéphane Dedelis

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Pédopsychiatrie

Valérie

Depuis cinq ans, l’infirmière Valérie Russo travaille auprès des jeunes atteints de problèmes de santé mentale hospitalisés au CHU Sainte-Justine. Son message pour les familles qui composent avec ce genre de diagnostic?

« Aux adolescents qui passent à travers ce moment difficile, j'ai envie de leur dire qu’il est normal de vivre une situation difficile ou de stress. Des gens sont là pour vous écouter, vous aider. N’ayez pas peur demander de l’aide. Et aux parents, j'ai envie de leur dire de continuer d’être solides, présents… Il est important, aussi, de prendre soin de vous, d’aller chercher de l’aide lorsque vous vous sentez au bout de vos ressources. »

© CHU Sainte-Justine – Photographie Véronique Lavoie

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Néonatalogie

Mélanie

« Dès notre entrée en poste, nous nous sentons tellement bien accompagnés! Que nous soyons CEPI ou infirmière d’expérience, nous recevons des formations théoriques et pratiques personnalisées pour nous préparer aux soins spécialisés que nous aurons à offrir aux petits patients. » – Mélanie, nouvelle infirmière à l’Unité de néonatalogie du CHU Sainte-Justine.

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stephan Ballard

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Soins intensifs pédiatriques

Delphine

Delphine Guéguen a travaillé pendant 13 ans dans des unités de soins intensifs pédiatriques en France avant de venir pratiquer au CHU Sainte-Justine.

« Ç’a été un gros défi mais si j’avais à le refaire, je le referais! », s’exclame l’infirmière. Membre de l’équipe de nuit, elle aime l’autonomie que lui confère ce quart de travail.

« Les médecins ont beaucoup de patients à leur charge pendant la nuit. S’il y a un problème avec notre patient, nous proposons aux médecins de devancer des soins ou de actes infirmiers et c’est très apprécié de leur part. La nuit, les patients et les familles ont aussi besoin d’un peu plus de réconfort. C’est un moment privilégié pour échanger avec les parents, les rassurer, leur apprendre comment s’impliquer dans les soins. C’est une façon de leur redonner confiance, de leur permettre de se réapproprier leur rôle de parent. »

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CRME

Michel et Mélanie

Les chemins de Michel, infirmier auxiliaire, et de Mélanie, infirmière clinicienne, se sont croisés au Centre de réadaptation Marie Enfant.

Œuvrant au sein de la même dyade en réadaptation fonctionnelle intensive, leur passion commune pour aider les enfants ayant une déficience motrice s’est rapidement transformée en une histoire d’amour, maintenant mariés depuis plus de 10 ans.

Inséparables au travail comme à la maison, Michel et Mélanie ne se tannent pas l’un de l’autre : « Notre profession n’est pas facile, mais nous l’aimons. Nous apprenons tout le temps, nos tâches sont variées et nous sommes collaboration avec plusieurs professionnels de la santé. Nous sommes tellement chanceux de travailler ensemble, de vivre les mêmes choses, on se comprend si bien. », relate Mélanie.

Habitant à la campagne, ils ne changeraient pas de milieu de soins pour être plus près de leur chez-soi : « Au Centre de réadaptation Marie Enfant, les patients provenant de partout à travers la province présentent des cas divers. C'est gratifiant de pouvoir contribuer à notre façon à leur progrès afin de les aider à retourner à la maison et surtout, de voir tout au long de leur cheminement, leur fierté et celle de leurs parents. », mentionne Michel.

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stephan Ballard

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Autres secteurs au CHU Sainte-Justine

Chantal

Fidèle aux patients du CHU Sainte-Justine depuis 1988, Chantal Leduc est devenue infirmière stomothérapeute il y a 19 ans.

« Je ne peux pas me lasser de mon travail. Je ne cesse jamais d’apprendre! » déclare-t-elle avec enthousiasme.

À titre de consultante, elle ratisse l’établissement pour répondre aux demandes de ses collègues professionnels de la santé pour des soins de plaies, ou pour des patients porteurs de stomie ou de gastrostomie. « Il y a une réflexion derrière chaque proposition de plan de traitement ou de pansement », souligne-t-elle.

Ce qui l’anime dans son travail? L’aspect humain. « Au-delà des soins, mon travail consiste aussi à rassurer les parents de patients qui ont des diagnostics à caractère chronique et qui ont parfois besoin d'une oreille attentive. »

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stéphane Dedelis

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CITCA

Lalla Rhita

Chaque année, pas moins de 100 adolescents sont hospitalisés au CHU Sainte-Justine pour un trouble alimentaire. Pendant leur séjour, ils croisent sur leur chemin Lalla Rhita Kanzi Belghiti.

Aujourd’hui assistante infirmière-chef, elle est tombée en amour avec ces jeunes à l’estime parfois fragile alors qu’elle était auparavant infirmière dans l’équipe volante, après un passage l’étage de pédiatrie.

« J’ai toujours cru que la santé mentale est aussi importante que la santé physique », déclare la pétillante jeune femme. Celle qui a un fort penchant pour l’aspect relationnel du travail d’infirmière a donc trouvé sa place sur cette unité où l’on prend soin tant du corps que de l’esprit des patients.

« Je dis à nos patients qu’ils sont de belles personnes, qu’ils sont plus forts qu’ils ne le croient et qu’ils sont remplis de potentiel – potentiel qu’ils ne voient pas tout le temps. Je leur dis aussi que la vie est faite de moments faciles et de moments plus difficiles, et que de passer à travers ces moins beaux moments leur sera source d’apprentissage pour le reste de leur vie. »

© CHU Sainte-Justine – Photographie Véronique Lavoie

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Soins chirurgie

Bénédicte

Un mot qui caractérise Bénédicte Therrien Hogue? La polyvalence.

Infirmière depuis 2013 au CHU Sainte-Justine, elle a travaillé tour à tour avec des patients en pré et postchirurgie avant d’accepter, en 2018, un poste de conseillère à la Direction des soins infirmiers pour l’implantation de nouvelles solutions technologiques dans les unités de soins. Puis, elle a récemment décidé de retourner à ses premières amours.

« Pour travailler ici avec la clientèle qui vit une chirurgie, il faut bien entendu aimer interagir avec les enfants. Mais ça exige aussi de développer des domaines d'expertises diversifiées: la plastie, l’orthopédie, l’ORL, la traumatologie, etc. »

Ce qui l’a motivée dans chacun de ses rôles: travailler en vue de donner les meilleurs soins aux patients. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle entamera dès la rentrée une maîtrise pour devenir infirmière praticienne spécialisée en soins pédiatriques, afin de continuer de donner le meilleur d’elle-même aux patients du CHU Sainte-Justine.

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stéphane Dedelis

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Pédiatrie

Laurence et Jo-anne

Lorsque Laurence a fait son choix de carrière, la profession d’infirmière est apparue telle une évidence: « Plusieurs membres de ma famille pratiquent les soins infirmiers, dont ma mère. Je cherchais un métier qui me permettrait d’apporter une aide concrète aux autres et d’avoir des tâches variées, car je ne veux pas devenir blasée avec les années! », mentionne-t-elle.

Laurence emprunte un chemin similaire à celui de sa mère: « Enfant, j’ai été à plusieurs reprises voir ma mère travailler au CHU Sainte-Justine. Je commence ma carrière à l'unité d'hospitalisation de pédiatrie spécialisée où ma mère a œuvré pendant de longues années en tant qu’infirmière. C’est bien spécial, mes collègues sont ses vieilles amies, on me rappelle souvent la journée de ma naissance et lorsque j’étais gamine! Ma mère a une belle réputation qui me rend fière, les gens sont encouragés de travailler avec moi. », dit Laurence.

Pour Jo-Anne, cette nouvelle étape dans la vie de sa fille consolide leur relation: « Après plus de 30 ans de carrière, je suis toujours en amour avec mon rôle d'infirmière. Laurence et moi échangeons quotidiennement sur notre travail, les défis que nous rencontrons et bien sûr, nos bons coups. On se comprend, c’est bien particulier. », souligne Jo-Anne.

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stephan Ballard

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Régis et Jimmy

Technologue en radiodiagnostique

Marie-Andrée

Marie-Andrée Pellerin a rejoint le CHU Sainte-Justine en tant que technologue en radiodiagnostique directement après avoir terminé ses études. Ayant fait un stage en pédiatrie puis une session auprès des adultes, elle savait l’alignement professionnel qu’elle désirait prendre : « C’est tellement dynamique de travailler avec des enfants! Tout est vu comme un jeu et est amené à la blague. Je savais que je voulais revenir travailler avec les enfants! », relate-t-elle.

Pour Marie-Andrée, le CHU Sainte-Justine lui permet d’avoir un cheminement professionnel très varié : « Il y a beaucoup de postes ouverts, ce qui nous permet d’avancer rapidement et d’essayer différentes choses. De plus, nous recevons souvent de nouveaux appareils modernes ce qui rend notre travail encore plus intéressant! »

En effet, en huit ans au sein du centre hospitalier universitaire, Marie-Andrée a eu la chance d’évoluer au sein de quatre rôles, soit celui de technologue en radiographie, de technologue en échographie, de coordonnatrice en échographie et finalement d’assistante-chef du service d’imagerie médicale, poste qu’elle occupe aujourd’hui.

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Nutritionniste

Gabrielle, Geneviève et Omar

Pour Gabrielle, Geneviève et Omar, travailler en tant que nutritionniste au CHU Sainte-Justine, c’est la possibilité de faire une différence dans le quotidien des enfants et de leurs familles. L’alimentation étant critique pendant l’enfance, ils jouent un rôle majeur pour s’assurer que les patientes et patients atteignent un état nutritionnel optimal, et ce, malgré la maladie.

Tous les trois se considèrent privilégiés de travailler avec une clientèle pédiatrique.  « On suit longtemps les jeunes, donc on voit concrètement les impacts de nos interventions, surtout chez les patientes et patients chroniques. », souligne Omar. Geneviève, quant à elle, mentionne son bonheur de les voir grandir et de créer des liens de confiance avec les familles. La résilience des enfants et la magie qu’elle voit dans leurs yeux la poussent à donner chaque jour le meilleur d’elle-même.

La fierté de travailler dans un milieu stimulant comme le CHU Sainte-Justine est grande. Œuvrer ensemble leur permet de partager leurs connaissances, de réfléchir à plusieurs aux meilleures solutions pour les patientes et patients et de s’entraider. La surspécialisation des cas traités les encourage à sortir des sentiers battus en proposant des plans de traitement non traditionnels pour atteindre, voir même surpasser les résultats escomptés. « Continuer à apprendre et relever des défis nous permet de nous dépasser en tant que professionnels » conclue Gabrielle.

© CHU Sainte-Justine – Photographie Véronique Lavoie

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Centre de recherche

CEPI à l’Unité de soins médicaux-chirurgicaux

Amélie

« Pour moi, le CHU Sainte-Justine est le meilleur centre hospitalier pour l’apprentissage des soins pédiatriques et le développement professionnel. Il y a une équipe chaleureuse de gestionnaires, d’infirmières et de conseillères en soins qui nous offre une intégration graduelle en poste et nous aide à revoir les bases théoriques apprises sur les bancs d’école. Je n’avais entendu que du bien à propos de l’Unité de soins médicaux-chirurgicaux et mon expérience le confirme! » – Amélie, CEPI à l’Unité de soins médicaux-chirurgicaux.

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stéphan Ballard

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Préposé à l’accueil

Denis

Denis Tremblay est préposé à l’accueil du CHU Sainte-Justine depuis avril dernier, lui qui travaillait auparavant à la réception de la marchandise de la Direction de l’enseignement de l’hôpital.

Ce saut à l’accueil des admissions, Denis Tremblay l’a fait pour les patients, mais également pour lui-même. « J’aime travailler avec le public, j’ai une facilité à communiquer et je me suis dit que c’était à mon tour! »

Il affirme avoir une présence rassurante pour les patients et leur famille. Cet aspect bienveillant de sa personnalité est une grande force chez lui. L’empathie et le respect sont pour lui des qualités cruciales pour faire son travail.

« Tu t’adresses aux enfants avant les parents. Le regard d’un enfant est tellement beau et inoffensif… Ce n’est pas trop long que je leur fais faire un petit sourire et ça détend toute la famille. »

© CHU Sainte-Justine – Photographie Véronique Lavoie

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Evens

Centre de recherche

Frédérique

Grâce à la passion, à l’expertise et au travail des chercheuses, chercheurs, cliniciennes et cliniciens chercheurs, soutenus par les équipes cliniques et le personnel de recherche, la renommée internationale du Centre de recherche n'est plus à faire.  

 « Comme infirmière de recherche clinique, je ne cesse jamais d’apprendre. C’est ce qui m’allume au quotidien. J’ai également la chance de bâtir de belles relations avec les participants à la recherche, répondre aux questions et calmer les inquiétudes des parents. C’est très gratifiant de les aider en leur proposant de participer aux études en cours. Je suis vraiment bien entourée et mon horaire me permet d’exceller professionnellement tout en profitant de la vie. Dès le départ, je me suis sentie à ma place et en confiance », raconte Frédérique, infirmière de recherche clinique à l’urgence.

Sur toutes les unités et dans une multitude de secteurs, tous s’affairent activement à faire avancer les connaissances et à implanter les découvertes dans les pratiques standards pour améliorer la qualité des soins et la santé des enfants, des adolescentes et adolescents, et des mères du Québec.

© CHU Sainte-Justine – Photographie Véronique Lavoie

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Joannie Et Adeline

Inhalothérapeute

Carole

Carole Barassi pratique l’inhalothérapie au CHU Sainte-Justine depuis 31 ans. Mais depuis 18 ans, son bonheur au travail, c’est auprès des bébés de la néonatalogie qu’elle le trouve.

« Je suis une passionnée des soins aux très petits bébés, déclare-t-elle. Mon travail d’inhalothérapeute nécessite que je m’adapte à leurs besoins particuliers. Bien entendu, je dois examiner chaque bébé, lui offrir le soutien ventilatoire adéquat et m’assurer que celui-ci ne lui crée pas d’inconfort. Ceci dit, il faut apprendre à faire tout cela en stimulant le moins possible les sens du prématuré. »

La coopération avec les infirmières et les médecins, de même que le regroupement des soins, est primordiale pour le développement du bébé et pour conseiller l’équipe lorsqu’il est question de besoins ventilatoires.

« Pourquoi j’aime autant être inhalothérapeute au CHU Sainte-Justine? Parce que mon travail me permet de me dépasser, et d’être autant une soignante qu’une accompagnante. »

© CHU Sainte-Justine – Photographie Charline Prévost

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Fabienne

Audrey

Centre de recherche

Marie & Karine

« En tant qu’infirmière de recherche, on voit tout le chemin parcouru par l’enfant et les retombées positives sur sa vie. C’est très motivant et porteur d’espoir. »

Marie et Karine, infirmières de recherche clinique en oncologie et immunologie 

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Inhalothérapeute

Chantal

Chantal Séguin s’amuse à dire qu’elle apporte de l’air et une bulle de bonheur aux enfants des soins intensifs du CHU Sainte-Justine.

« J’étais encore étudiante lorsque j’ai eu un coup de cœur pour l’inhalothérapie en milieu pédiatrique », se remémore celle qui pratique au CHU Sainte-Justine depuis 28 ans.

Œuvrer dans un établissement reconnu comme étant un centre de référence lui a permis de progresser rapidement, admet-elle. « Mais ce qui m’anime le plus en tant que professionnelle, c’est la complicité qui se créée avec les patients et leurs parents, qui séjournent parfois à long terme sur l’unité, de même qu’avec l’équipe médicale. »

Chaque jour, elle se demande comment elle peut faire une différence à titre de thérapeute et d’individu. « Quand on n’a pas peur du ridicule, on peut avoir beaucoup de plaisir à pratiquer en pédiatrie. Améliorer le confort d’un enfant tout en tentant de le distraire, en apportant un peu de légèreté, est un élément de ma pratique qui m’apporte une grande satisfaction. » 

© CHU Sainte-Justine – Photographie Charline Prévost

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Travailler au CHU Sainte-Justine

CRME

Marion

Marion Raffin est infirmière depuis une vingtaine d’années dont un an au Centre de Réadaptation Marie Enfant (CRME).

Après avoir débuté sa carrière en France en soins intensifs, puis en soins à domicile, sa rencontre avec le monde pédiatrique et le handicap l’a interpellée.

« On m’a présenté le CRME comme un établissement accueillant une population pour l’hébergement et c’est ce qui m’intéressait », précise Marion.

En effet, le CRME comprend une unité d'hébergement/répit qui est un milieu de vie, à taille humaine, où le suivi des enfants multihandicapés est basé sur une relation thérapeutique à long-terme avec les enfants et leur famille. « Les enfants qu’on accueille à l’hébergement sont complètement dépendants à tous les niveaux », raconte Marion. L’accompagnement va au-delà des soins. En tant qu’infirmière au CRME, Marion est impliquée, dans tout ce qui entoure l’enfant : ses soins de santé, ses déplacements, l’intérêt pour son apprentissage, son bien-être, les relations avec sa famille, etc.

Être infirmière a l'unité d'hébergement/répit c'est développer et mettre en pratique un large éventail d’activités professionnelles. C'est aussi apprendre à communiquer avec l’enfant et comprendre ses ressentis. Pour cela, Marion travaille en interdisciplinarité avec d’autres employés de l’établissement : des préposés aux bénéficiaires, des éducateurs spécialisés, des enseignants, des ergothérapeuthes, des techniciens en loisir, des infirmières auxiliaires, des médecins et bien d'autres. « On n’est pas des soignants pour les enfants, on est des accompagnants du quotidien », raconte Marion avec lucidité.

Elle porte un regard bienveillant sur son lieu de travail. La charge émotionnelle peut être forte pour certains mais « beaucoup d’écoute et de stratégie d’adaptation sont déployées pour que les infirmiers(ères) se sentent bien », conclut Marion.

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Gabrielle

Soins intensifs pédiatriques

Matthieu

Matthieu Masdoumier aime l’action. Pas étonnant qu’il se soit dirigé vers les soins intensifs du CHU Sainte-Justine, en 2014, après quelques années de pratique dans les urgences pédiatriques et la médecine de l’adolescence.

« Pour être infirmier aux soins intensifs, il faut travailler rapidement, avoir beaucoup de jugement et être proactif. Puisque nous avons peu de patients à notre charge – un ou deux – nous passons le plus clair de notre temps à leur chevet. Nous les connaissons par coeur. Notre rôle est aussi d’être leur porte-parole auprès du reste de l’équipe, y compris les médecins, qui nous consultent pour prendre des décisions. Si nous voyons que quelque chose cloche avec un patient, nous agissons. C’est l’attente que l’équipe a envers nous. Elle a pleinement confiance en notre jugement et nos compétences. »

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stéphane Dedelis

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Hématologie-oncologie

Audrey

Audrey Gagnon est une fille de Sainte-Justine. Grande prématurée hospitalisée dans notre établissement il y a 25 ans, elle a étudié en soins infirmiers pour travailler avec les enfants du CHU Sainte-Justine.

D’abord préposée aux bénéficiaires chez nous pendant ses études, elle est maintenant infirmière en hémato-oncologie depuis cinq ans.

Au début, elle se sentait un peu intimidée devant cette clientèle souffrant de cancers, de maladies du sang, ou nécessitant une greffe de moelle osseuse. « Et pourtant, c’était une clientèle toute désignée pour moi, reconnaît Audrey Gagnon. On travaille avec les patients à long terme, on développe un lien privilégié avec eux. »

Selon elle, ses forces sont de bien encadrer les patients et leur famille, de les soutenir dans l’atteinte d’un but souhaité et de faire de son mieux pour aider les patients à obtenir les ressources dont ils ont besoin.

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stéphane Dedelis

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Néonatalogie

Marianne

Sans hésiter, Marianne a rejoint la famille du CHU Sainte-Justine comme infirmière en néonatalogie directement après son baccalauréat. « J’ai toujours aimé les bébés et les enfants. Je me sens vraiment choyée de travailler ici. », révèle Marianne. 

Dans son unité, la jeune infirmière ne s’ennuie jamais. Son équipe de travail est très grande et le rythme de travail stimulant : « J’aime la grande équipe de professionnels avec qui je travaille. J’adore pouvoir être avec certaines personnes une journée et d’autres le lendemain », explique-t-elle. C’est d’ailleurs cet élément de variété qu’elle retrouve même dans ses tâches et qui lui font aimer son expérience quotidienne. « En soins intermédiaires, c’est plus calme puisque nous donnons des soins de base aux bébés pour qu’ils puissent rentrer à la maison. Tandis qu’aux soins intensifs, nous pouvons avoir des journées plus chargées comportant plusieurs examens à faire pour nos petits patients. Je pense que je ne me sentirais pas à l’aise si toutes les journées de travail étaient intenses ou seulement monotones », confie-t-elle.

Selon Marianne, deux des grandes qualités d’une bonne infirmière néonatologie sont simples : « Ça prend de l’empathie puisque les parents sont extrêmement présents. C’est important de bien communiquer avec eux. Lorsqu’ils arrivent aux soins intensifs, ils sont souvent choqués par le nombre de machines sur l’unité et n’osent pas poser de questions. C’est notre rôle de leur expliquer et d’être sensibles à leurs inquiétudes. », explique l’infirmière.

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Infirmière auxiliaire

Lamia

« J’avais des craintes que les débuts soient difficiles au CHU Sainte-Justine, reconnu comme un milieu hautement performant, mais j’ai été agréablement surprise. », mentionne Lamia, infirmière auxiliaire.

« Je suis des journées d’observation à l’Unité de médecine pédiatrique et déjà, je m’y sens tellement bien! On me donne le temps dont j’ai besoin pour me familiariser avec les enfants qui y sont traités et mes nouveaux collègues. Une infirmière auxiliaire plus expérimentée m’a prise sous son aile, répond à mes questions et m’introduit aux différents services qui sont offerts aux employés. On prend vraiment soin de nous! » confie Lamia.

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stéphane Dedelis

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Technologiste médicale

Annie

Annie St-Pierre a rejoint la grande famille du CHU Sainte-Justine en tant que technologiste médicale juste avant que la pandémie de la Covid-19 ne frappe aux portes du Québec.

Rapidement, Annie y a senti l’importance de son rôle pour la santé des patients : « Je travaille au sein d’une petite équipe qui fait de grandes choses. Nous faisons des analyses très spécialisées que beaucoup de centres n’offrent pas. Ici, chaque personne a un rôle essentiel dans l’équation qui mène à la bonne solution pour le patient – on n’a pas l’impression de faire du travail à la chaine. Même si je ne vois presque jamais les patients, je développe un lien très spécial avec eux; j’ai toujours hâte de savoir s’ils vont mieux! »

Pour Annie, le CHU Sainte-Justine est un environnement de travail gratifiant : « Il est facile de trouver de la reconnaissance dans notre travail au CHU Sainte-Justine, car on voit réellement l’incidence de notre rôle sur les petits patients qui sont traités. » Bien qu’elle ait encore une longue carrière devant elle, Annie sait pertinemment qu’elle veut rester au CHU Sainte-Justine « J’ai travaillé dans quelques laboratoires, mais au CHU Sainte-Justine, j’ai réellement trouvé ma place. Je sais que je pourrai y accomplir de grandes choses! »

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Autres secteurs au CHU Sainte-Justine

Marie-Ève

Marie-Ève Desjardins inspire le calme. Pourtant, cette inhalothérapeute de plus de 16 ans d’expérience travaille dans une unité de soins qui carbure à l’adrénaline : les soins intensifs du CHU Sainte-Justine. C'est là que sont accueillis les cas parmi les plus complexes de l’établissement.

« C’est un milieu de travail très motivant pour les inhalothérapeutes qui veulent se surpasser et qui ont une grande soif d’apprendre, de se développer souligne-t-elle. Le travail multidisciplinaire avec les infirmières et les médecins est extraordinaire, car nous avons tous à cœur de trouver des solutions pour le mieux-être des enfants. »

Les aspects de sa pratique qu’elle apprécie particulièrement? La résilience des enfants, qui continuent de rire et de s’amuser malgré les traitements, et savoir ses patients sont entourés d’une famille bienveillante.

« Depuis que je suis mère, le contact avec les parents est beaucoup plus naturel pour moi. Je comprends mieux leur état d’esprit pendant leur séjour aux soins intensifs. Je me sens mieux outillée pour les accompagner dans les moments plus difficiles. » 

© CHU Sainte-Justine – Photographie Charline Prévost

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Annie

Hématologie-oncologie

Arianne

« Dès mes premiers jours en tant qu’infirmière à l’Unité d’hématologie-oncologie du CHU Sainte-Justine, j’ai été marquée par l’esprit d’entraide qui y règne. Que ce soit par l’offre de formation qui nous est donnée afin de nous soutenir dans notre intégration ou encore, par nos collègues qui nous prêtent main-forte, on sent qu’on fait partie d’une équipe soudée! » – Ariane, nouvelle infirmière à l’Unité d’hématologie-oncologie du CHU Sainte-Justine.

 

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Néonatalogie

Christine et Martin

Depuis plus de 6 ans, Martin et Christine sont les chefs de l’Unité de néonatalogie du CHU Sainte-Justine, la plus importante et la plus spécialisée au sein de la province.

Unis, ces gestionnaires ont à cœur le mieux-être de leur équipe : « En tant que chefs, nous ne traitons plus de patients; nous prenons maintenant soin de notre personnel infirmier. Nous aimons nous impliquer et être présents pour eux, pour les écouter et les accompagner dans leur développement professionnel. », relate Christine.

Pour Christine, la néonatalogie est la plus belle spécialité qui soit : « Nous faisons beaucoup plus que soigner des nouveau-nés, nous nous investissons pour les familles en leur enseignant comment prendre soin de leur petit dans leur nouveau rôle de parent. Nous créons des liens très forts puisque nous apprenons à connaître leur enfant avec eux. »

Pour Martin qui a débuté sa carrière en tant qu’infirmier aux soins critiques dans un hôpital pour adultes, œuvrer en néonatalogie est symbole d’espoir : « Lorsque des bébés prématurés aux débuts si fragiles quittent notre unité après de longs mois d’hospitalisation, c’est jour de fête. Leur vie de famille peut alors commencer et les membres de l’équipe sont fiers d’avoir pu y contribuer. C’est touchant tant pour nous que pour les parents. », mentionne Martin.

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stephan Ballard

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Soins intensifs pédiatriques

Stéphanie

Enfant, Stéphanie Houle était patiente du CHU Sainte-Justine.

« J’ai toujours gardé à l’esprit que c’était un beau milieu positif », se remémore l’infirmière.

En 2008, diplôme en poche, elle a décidé d’y revenir, cette fois pour pratiquer sa profession.

« J’apprécie travailler avec les familles. J’aime dire que l’on soigne à parts égales l’enfant et le parent, qui vit un important moment de choc. » 

En plus des soins, son travail consiste à rendre ce passage aux soins intensifs le plus humain possible.

« Si l’enfant est entouré d’amour et que nous arrivons à lui procurer un bon niveau de confort, il vit alors l’instant présent, peu importe le pronostic. En travaillant aux soins intensifs, nous pouvons vivre des moments hauts en adrénaline, mais aussi des moments remplis de douceur et de magie avec les enfants et leur famille. »

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stéphane Dedelis

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Marion

Autres secteurs au CHU Sainte-Justine

Najibé et Fares

Lors de son arrivée au Canada du Liban, Najibé s’est jointe au CHU Sainte-Justine pour y poursuivre sa carrière en soins infirmiers.

Sans penser qu’un jour son fils Fares suivrait ses pas en devenant lui aussi infirmier clinicien au même centre hospitalier, Najibé lui a transmis sa passion pour cette profession tout au long de sa jeunesse: « Ma mère n’est jamais allée au travail à reculons. J’ai toujours vu son emploi comme étant stimulant lorsqu’elle me racontait ses histoires touchantes et que je la suivais, dès mon jeune âge, au CPE Ste-Justine et au cours de mes études secondaires en tant que bénévole pour le CHU Sainte-Justine. J’ai choisi cette profession en plein essor qui me permet d’apprendre chaque jour en interdisciplinarité avec d’autres professionnels de la santé et surtout, de ne jamais m’ennuyer. », mentionne Fares.

Pour Najibé, voir son fils s’épanouir comme elle est une fierté : « Malgré les défis quotidiens associés à notre profession et les situations difficiles que nous vivons avec les patients et leur famille qui nous émeuvent énormément, je choisirais encore d’être infirmière aujourd’hui. J’aime la gestion de crise qui y est associée et surtout, apporter mon aide aux autres. Dans mon cœur de mère, je suis tellement fière de Fares. Il a l’étincelle pour les soins, il est passionné par son métier comme je le suis. »

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stéphane Ballard

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Gestionnaires

Centre de recherche

Stessy

« J’ai la chance de pouvoir m’épanouir dans un milieu où tout s’active pour faire avancer les découvertes. En évaluant différentes pratiques de soins ou de nouveaux traitements, cela permet d’offrir des soins innovants, sécuritaires et de qualité pour la santé des mères et des tout-petits patients ».

Stessy, infirmière auxiliaire de recherche

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Inhalothérapeute

Mathieu

Après avoir pratiqué divers métiers pour des services essentiels en tant que pompier, entraîneur privé et soldat au sein de l’armée, Mathieu Brochu-Guimond était à la recherche d’une profession qui allait rejoindre réellement ses valeurs et surtout, l’amener à aider des gens à être en meilleure santé.

C’est ainsi que Mathieu a entrepris une formation pour devenir inhalothérapeute. Lors d’un stage au CHU Sainte-Justine, Mathieu y a découvert une passion pour aider les jeunes avec des difficultés respiratoires : « Jamais je n’aurais pensé travailler au CHU Sainte-Justine, c’est un milieu qui me faisait peur! Toutefois, j’y ai découvert une équipe soudée et chaleureuse avec qui je prodigue mes soins tel un jeu pour faire oublier aux enfants pourquoi ils sont à l’hôpital. C’est vraiment intéressant! » Faisant partie de l’équipe volante et de l’unité d’hémato-oncologie du centre hospitalier universitaire, son environnement de travail est plus que varié : « Je vois des cas et des patients différents chaque jour et c’est ce que j’aime. Je n’ai pas de routine! »

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Inhalothérapeute

Marie-Ève

Soutenir les familles d’enfants prématurés dans leurs objectifs d’allaitement. Voilà le rôle qu’occupe depuis 10 ans Marie-Ève Loiselle, infirmière clinicienne et consultante en lactation au CHU Sainte-Justine.

« Avoir un enfant prématuré est tout un défi pour une famille. Et bien que le lait maternel soit important pour la condition du bébé, l’allaitement, dans ces circonstances, représente un défi supplémentaire pour la mère. »

C’est alors que Marie-Ève Loiselle entre en jeu en accompagnant, par exemple, la famille dans la transition entre le gavage du bébé et les boires au sein ou au biberon de lait maternel.

« La relation qui se crée avec les familles déborde de l’allaitement. Quand une famille repart à la maison et qu’elle est satisfaite de son parcours, de ses objectifs en matière d’allaitement et qu’elle se sent outillée, j’ai le sentiment du devoir accompli. »

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stéphane Dedelis

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PAB

CRME

Jean-François

Au départ, Jean-François Bergeron n’envisageait pas de devenir infirmier. Ce sont les différentes opportunités de la vie et son envie de prendre soin des autres qui l’ont amené à choisir cette profession par passion. « Mon intérêt pour les soins a commencé avec l’armée car j’étais réserviste au sein d’une unité médicale », précise Jean-François.

Après une expérience en tant qu’enseignant en soins infirmiers puis en tant qu’infirmier en soins palliatifs, Jean-François a rejoint le Centre de réadaptation Marie Enfant (CRME).

Depuis maintenant un an, Jean-François travaille aux côtés d’enfants présentant une déficience motrice et/ou une déficience du langage. « Les enfants sont authentiques et super résilients, ce sont des modèles. Ils m’apportent beaucoup », dit avec justesse Jean-François.
Pas une journée ne se ressemble au CRME. Entre la formation de nouveaux infirmiers(ères), la mobilisation sur un projet particulier, ou encore les réponses aux demandes des parents, le quotidien de Jean-François n’est pas linéaire. D’autant plus qu’en fonction des urgences, les soins se concentrent parfois sur un seul enfant le temps d’un quart de travail.

La force du CRME, outre l’intérêt des missions, est l’accompagnement et l’esprit de famille qui y règne. Le CRME est une structure à taille humaine où la collaboration et l’entraide sont très fortes.
Au final, ce qui anime Jean-François, c’est de prendre soin des gens, autant physiquement que moralement. « Je trouve que le soutien affectif manque beaucoup dans notre société alors j’essaye de l’offrir dans mon travail », conclut Jean-François avec humanité.

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Soins intensifs pédiatriques

Julie

Infirmière depuis plus de six ans sur l’unité de soins multispécialités, Julie d’Hiver a fait le saut il y a un an vers les soins intensifs du CHU Sainte-Justine.

« J’y ai trouvé ce que je cherchais! De l’adrénaline, l’acquisition rapide de connaissances, un grand sentiment d’accomplissement, sans oublier un bel esprit d’équipe! Je pensais qu’il me faudrait du temps pour faire mes preuves auprès de mes nouveaux collègues, mais ç’a été tout le contraire. J’ai eu un super accueil! Malgré les situations parfois difficiles, il y a beaucoup d’entraide, de soutien et d’humour aux soins intensifs. Avec les patients et leurs parents, nous formons tous une grande famille. »

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stéphane Dedelis

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Ariane et Maxime

Hématologie-oncologie

Marie-Pierre

Pour Marie-Pierre Bastien, chef de l’Unité d’hématologie-oncologie, œuvrer auprès des enfants au CHU Sainte-Justine a toujours été un rêve : « Je me souviens encore de mon entrevue pour un poste d’externe en soins infirmiers pendant mes études. Je voulais tellement être avec les enfants, je n’avais appliqué qu’au CHU Sainte-Justine! Si je n’avais pas eu le poste, j’aurais travaillé comme monitrice de camp de jour et tenté à nouveau l’année suivante! », se rappelle-t-elle.

À ses commencements sur l’unité, Marie-Pierre appréhendait son rôle d'infirmière auprès des patients en hématologie-oncologie, clientèle qui l’a rapidement fascinée : « Les enfants sont tellement résilients! Il n’est pas rare de voir un petit patient en traitement de chimiothérapie, fiévreux, courir et s’amuser dans les corridors de l’hôpital. Le cancer n’est pas présent dans leur façon d’agir et rien ne leur semble impossible. » Marie-Pierre, émotive, partage des moments qui marquent son quotidien sur l’unité : « Lorsqu’un enfant termine ses traitements de chimiothérapie nécessitant une hospitalisation, toute l’équipe se rassemble pour faire sonner une grande cloche. C’est vraiment émouvant et ça nous rappelle que notre travail fait une réelle différence dans la vie de nos patients. »

Marie-Pierre se considère choyée de faire partie d’une équipe de soignants aussi soudée « Quand on commence au sein de l’unité, il est vrai que ce n’est pas facile, mais nous avons une équipe de soutien clinique incroyable qui met tout en place pour que notre personnel en soins infirmiers soit bien accompagné. De mon côté, j’aime être près de mes gens sur le plancher pour les écouter, comprendre leur réalité et être là lorsqu’ils en ont besoin. »

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stephan Ballard

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Soins intensifs pédiatriques

Mathilde

Peu après la fin de ses études, Mathilde Gagnon a intégré l’équipe des soins intensifs du CHU Sainte-Justine.

« Je voulais me développer. Ici, il n’y a pas de routine. Je suis donc bien servie! », déclare la pétillante jeune femme.

« Je touche à tout : patients de 0 à 18 ans, bronchiolites, traumas, greffes d’organes, neurochirurgie, etc. C’est vraiment enrichissant. Je sais que je dispose du temps et du soutien nécessaires pour offrir les meilleurs soins à ces patients complexes. Mes collègues, l’équipe interdisciplinaire, mais aussi des conseillères en soins infirmiers, sont là pour nous faire grandir professionnellement et nous rassurer. Je sens que j’ai tout ici pour me permettre d’évoluer en toute confiance. »

© CHU Sainte-Justine – Photographie Stéphane Dedelis

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CRME

Léanne

Léanne Sicotte-Robinson est infirmière depuis un an et demi. Elle a commencé dans le domaine de la pédiatrie puis en post-partum. « Ma passion c’est de travailler avec les enfants, j’aime leur résilience et leur joie de vivre », ajoute Léanne.

Depuis plus de dix mois, elle travaille au Centre de réadaptation Marie Enfant dédié aux nouveau-nés, aux enfants et aux adolescents présentant une déficience motrice ou une déficience du langage. Le CRME y offre des services spécialisés et surspécialisés d’adaptation-réadaptation, d’intégration et de participation sociales.

Léanne a toujours voulu s’occuper d’enfants aux besoins particuliers. Au CRME, elle est affectée principalement à l’hébergement pour les quarts de soir et de nuit. Dans le cadre de sa pratique d'infirmière, elle évalue la santé des patients et réalise le suivi des particularités spécifiques de chaque enfant (orthèses, traitements, etc). « La plupart des patients sont dépendants de nous, il faut vraiment les accompagner dans tous les soins de base », explique Léanne.

Faut-il nécessairement avoir de l’expérience pour travailler au CRME? « Non, pas forcément », répond Léanne. Chaque nouvel employé bénéficie d’un accompagnement et d’un suivi personnalisés. L’autonomie professionnelle se développe avec le temps allant de pair avec de nouvelles responsabilités et un apprentissage en continu.

Léanne apprécie également l’esprit de famille qui règne au CRME. « On est vraiment soudés et on travaille toujours en équipe multidisciplinaire. Le fait d’être une petite équipe facilite aussi les communications », précise-t-elle.

Son mot de la fin? « Venez faire la différence dans la vie d’enfants qui en ont besoin! »

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Professionnels de la santé psychosociale

Inhalothérapeute

Christiane

Christiane Tremblay a d’abord pratiqué l’inhalothérapie avec des clientèles adultes. Il y a deux ans, elle a décidé de faire un virage vers le milieu pédiatrique au CHU Sainte-Justine.

« Ça été une grosse adaptation, admet-elle, mais je suis convaincue d’avoir pris la bonne décision. J’ai choisi de venir travailler à Sainte-Justine pour me perfectionner, avoir accès à des technologies que l’on ne retrouve pas ailleurs et pour me développer aux côtés d’une équipe médicale à l’expertise reconnue. »

À titre d’inhalothérapeute dans l’équipe volante, Christiane Tremblay est appelée à travailler dans plusieurs secteurs, allant de la néonatalogie aux soins intensifs, en passant par l’urgence.

« Il faut avoir une bonne capacité d’adaptation pour travailler ici, reconnaît la jeune femme. Dans une même semaine, je peux traiter des enfants de tous âges, du bébé prématuré jusqu’au grand adolescent de presque 18 ans. Mon rôle m’amène aussi à former des étudiants et à collaborer avec les parents. L’ambiance de travail ici est joyeuse, différente. »

© CHU Sainte-Justine – Photographie Véronique Lavoie

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Catherine

Santé Physique

Mickaël

Services administratifs

Inhalothérapeute

Frédéric

Frédéric Otis-Chapados pratique l’inhalothérapie au CHU Sainte-Justine depuis trois ans.

Sa particularité? Il est membre de l’équipe de transport néonatal, cette petite escouade appelée en renfort lorsqu’un prématuré naît dans un centre hospitalier sans unité de néonatalogie. Pas moins de 400 de ces prématurés sont ainsi pris en charge chaque année par l’équipe de transport néonatal avant d’être transférés au CHU Sainte-Justine.

« L’inhalothérapeute et l’infirmière de transport néonatal sont les yeux et les oreilles du patron de la néonatalogie de garde à Sainte-Justine, qui est au bout du fil avec nous. C’est une grosse responsabilité à assumer, mais on gagne vite en assurance », raconte Frédéric Otis-Chapados.

La confiance en soi, la débrouillardise et avoir une bonne capacité d’adaptation sont, selon lui, des qualités essentielles pour être inhalothérapeute dans l’équipe de transport néonatal.

« Il faut aussi aimer le travail d’équipe et transmettre ses connaissances. C’est gratifiant de recevoir des remerciements du personnel des centres hospitaliers où l’on a été appelés parce qu’on a partagé notre expertise avec eux. »

© CHU Sainte-Justine – Photographie Véronique Lavoie

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