Dans le cadre du 115e anniversaire du CHU Sainte-Justine, 115 personnes racontent leur histoire et comment l’établissement a marqué leur vie... Cet anniversaire souligne également les 85 ans d’existence du Centre de réadaptation Marie Enfant (CRME). Merci pour ces beaux témoignages, pour ces souvenirs de joie, de peine, de résilience et d’espoir. De nouvelles histoires à découvrir chaque mois!
« Grâce à tous les bons services que j’ai reçus à Sainte-Justine, je suis encore en vie et je peux réaliser un de mes plus grands rêves… »
« Zack est tellement dans le moment présent qu’il ne se soucie pas de ce qui arrive ou de ce qui est arrivé… »
« J’entends les infirmières me rassurer, je les vois fabriquer des lunettes à ma poupée pour me changer les idées dans la salle d’opération… »
« À l'anniversaire de la greffe, même après 21 ans, nous avons encore une pensée pour la famille du donneur. »
« Ils ont sauvé mon Lucas… mais ils m’ont sauvée moi aussi. »
« Il ne faut pas se laisser abattre ni accepter de se faire dire que c’est impossible. Ça ne l’est pas. »
« L’expérience que j’ai gagnée comme athlète de niveau international m’accompagne tous les jours depuis mon retour au travail. »
« Je n’avais pas peur, même si j’avais une chance sur deux de mourir sur la table d’opération. »
« Ça m’a brisé le cœur. Sainte-Justine, c’était vraiment une famille. Une famille que je voyais plus que ma famille à moi… »
« Le CHU Sainte-Justine est plus qu’un lieu de travail : c’est une véritable deuxième famille. »
Problème : un des deux jumeaux oublie de respirer quand il s’endort…
« Je vais longtemps me souvenir de ses câlins spontanés qui me faisaient littéralement fondre. »
À 25 ans, Roxanne partage son vécu, elle donne espoir.
Plus le temps passait, plus le nombre élevé de transfusions (plus d’une centaine) augmentait les risques d’accident vasculaire cérébral.
« Si je dois m’occuper de mon fils, s’est dit Claudine, je vais aller chercher de meilleurs outils et des formations. »
C’était lui, ce petit prématuré photographié autrefois !
« Je me souviens de m’être éveillée alors que j’étais attachée au brancard et que les ambulanciers me descendaient du deuxième étage, puis plus rien. »
« Les médecins ont annoncé à trois reprises à ma mère que j’allais mourir, qu’il n’y avait plus d’espoir pour moi. »
« Maintenant il court, il saute, il ‘’ se casse la gueule ‘’, comme un garçon normal! »
À cinq jours de vie, Théa a subi une chirurgie afin de replacer ses organes dans son abdomen et de créer un diaphragme artificiel…
« Quand j’avais enfin la chance de retourner chez moi, je devenais moi-même l’infirmière de mes toutous… »
« Grâce aux équipes de soins, je me suis sentie pleinement en confiance, malgré le niveau de stress que cette nouvelle a pu occasionner. »
« Ce dont je me souviens, c’est d’abord des gens très attentionnés, puis des murs et plafonds hyper-colorés. »
« Pour un des transferts, le docteur en charge était en congé, mais il a décidé de venir spécialement pour nous. »