La passion pour les soins infirmiers

Lumière sur...

Plusieurs professionnels en soins infirmiers partagent plus qu’une complicité entre collègues.

Découvrez les touchantes histoires de Najibé, Fares, Jo-Anne et Laurence dont la passion pour les soins infirmiers a été partagée d’une génération à l’autre et celle de Michel et Mélanie dont cet amour s’est transformé en quelque chose de plus grand en travaillant ensemble au chevet des patients à l’unité de réadaptation fonctionnelle intensive.


Les chemins de Michel, infirmier auxiliaire, et de Mélanie, infirmière clinicienne, se sont croisés au Centre de réadaptation Marie Enfant

Œuvrant au sein de la même dyade en réadaptation fonctionnelle intensive, leur passion commune pour aider les enfants ayant une déficience motrice s’est rapidement transformée en une histoire d’amour, maintenant mariés depuis plus de 10 ans.

Inséparables au travail comme à la maison, Michel et Mélanie ne se tannent pas l’un de l’autre : « Notre profession n’est pas facile, mais nous l’aimons. Nous apprenons tout le temps, nos tâches sont variées et nous sommes collaboration avec plusieurs professionnels de la santé. Nous sommes tellement chanceux de travailler ensemble, de vivre les mêmes choses, on se comprend si bien.  », relate Mélanie.

Habitant à la campagne, ils ne changeraient pas de milieu de soins pour être plus près de leur chez-soi : «  Au Centre de réadaptation Marie Enfant, les patients provenant de partout à travers la province présentent des cas divers. C'est gratifiant de pouvoir contribuer à notre façon à leur progrès afin de les aider à retourner à la maison et surtout, de voir tout au long de leur cheminement, leur fierté et celle de leurs parents.  », mentionne Michel.


Lorsque Laurence a fait son choix de carrière, la profession d’infirmière est apparue telle une évidence 

« Plusieurs membres de ma famille pratiquent les soins infirmiers, dont ma mère. Je cherchais un métier qui me permettrait d’apporter une aide concrète aux autres et d’avoir des tâches variées, car je ne veux pas devenir blasée avec les années!  », mentionne-t-elle.

Laurence emprunte un chemin similaire à celui de sa mère  : «  Enfant, j’ai été à plusieurs reprises voir ma mère travailler au CHU Sainte-Justine. Je commence ma carrière à l'unité d'hospitalisation de pédiatrie spécialisée où ma mère a œuvré pendant de longues années en tant qu’infirmière. C’est bien spécial, mes collègues sont ses vieilles amies, on me rappelle souvent la journée de ma naissance et lorsque j’étais gamine! Ma mère a une belle réputation qui me rend fière, les gens sont encouragés de travailler avec moi. », dit Laurence.

Pour Jo-Anne, cette nouvelle étape dans la vie de sa fille consolide leur relation : « Après plus de 30 ans de carrière, je suis toujours en amour avec mon rôle d'infirmière. Laurence et moi échangeons quotidiennement sur notre travail, les défis que nous rencontrons et bien sûr, nos bons coups. On se comprend, c’est bien particulier.  », souligne Jo-Anne.


Lors de son arrivée au Canada du Liban, Najibé s’est jointe au CHU Sainte-Justine pour y poursuivre sa carrière en soins infirmiers

Sans penser qu’un jour son fils Fares suivrait ses pas en devenant lui aussi infirmier clinicien au même centre hospitalier, Najibé lui a transmis sa passion pour cette profession tout au long de sa jeunesse: « Ma mère n’est jamais allée au travail à reculons. J’ai toujours vu son emploi comme étant stimulant lorsqu’elle me racontait ses histoires touchantes et que je la suivais, dès mon jeune âge, au CPE Ste-Justine et au cours de mes études secondaires en tant que bénévole pour le CHU Sainte-Justine. J’ai choisi cette profession en plein essor qui me permet d’apprendre chaque jour en interdisciplinarité avec d’autres professionnels de la santé et surtout, de ne jamais m’ennuyer.  », mentionne Fares.

Pour Najibé, voir son fils s’épanouir comme elle est une fierté : «  Malgré les défis quotidiens associés à notre profession et les situations difficiles que nous vivons avec les patients et leur famille qui nous émeuvent énormément, je choisirais encore d’être infirmière aujourd’hui. J’aime la gestion de crise qui y est associée et surtout, apporter mon aide aux autres. Dans mon cœur de mère, je suis tellement fière de Fares. Il a l’étincelle pour les soins, il est passionné par son métier comme je le suis.  »

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Mise à jour le 7 mai 2021
Créée le 6 mai 2021
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