Le bulletin d’information du CHU Sainte-Justine regroupant toutes les informations sur l’évolution de la situation de la COVID-19 |
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Les couleurs de l’automne
Depuis 5 semaines, le Québec recense environ 1 000 nouveaux cas de COVID-19 par jour. Cette stabilité cache toutefois des réalités régionales bien différentes : alors qu’à certains endroits il y a eu une grande amélioration, dans d’autres régions la situation se détériore.
Le mois de novembre débute et emmène avec lui le temps froid. Pour passer à travers les prochaines semaines et la saison hivernale, il faudra plus que jamais respecter les consignes en vigueur. Le code de couleur est toujours valide et les efforts de tous pourraient faire basculer des régions vers la zone orange.
La patience et la prudence sont de mise pour traverser le mois de novembre.
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Nouvelles
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État de la situation
Nous vous transmettons encore cette semaine les chiffres hebdomadaires sur l’état de la situation COVID au CHU Sainte-Justine. La situation reste stable, mais le coronavirus est toujours présent dans notre établissement et tous doivent continuer d'être respectueux des mesures.
DONNÉES À JOUR EN DATE DU 4 NOVEMBRE
PATIENTS
- Actuellement hospitalisés
1 patient
- Actuellement aux soins intensifs
0 patient
- Hospitalisés depuis le début de la pandémie
86 patients
PERSONNEL, MÉDECINS ET RÉSIDENTS
- Nouveaux cas positifs
4 cas
- Actuellement absents suite à un test positif
5 absents
- Cas positifs depuis le début
182 cas
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Retour à la normale pour les ascenseurs 7 et 8
Jusqu’à tout dernièrement réservés aux patients tièdes ou chauds, les ascenseurs 7 et 8 situés dans le bloc 2 sont maintenant accessibles à tous.
Afin de répondre aux besoins de l’ensemble de la clientèle, ces ascenseurs ne sont plus réservés à la clientèle COVID.
En début de semaine, l’affichage spécial a été retiré et vous pouvez dès maintenant utiliser les ascenseurs 7 et 8 pour vos déplacements au sein de l’établissement.
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Nouvelle procédure pour les demandes d'interprètes
Le service d’interprétation offert au CHU Sainte-Justine permet aux diverses communautés ethnoculturelles de recevoir les soins et services nécessaires, et ce, dans leur langue.
Pour les demandes d'interprètes non urgentes, vous devez remplir le formulaire disponible sur l'intranet à l'adresse intranet.chusj.org/Interprete.
Pour les demandes d'interprètes urgentes (72 heures et moins), merci de laisser un message au poste 4277 ou composer le 4273 pour une assistance immédiate.
À noter que le service est disponible de 8 h à 16 h. En dehors de ces heures, vous pouvez consulter la banque d'interprètes internes disponible sur l'intranet dans le bottin des personnes.
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Lorsque les actualités nous bouleversent
La couverture médiatique d’un crime violent, d’une catastrophe naturelle, d’une guerre, d’un acte terroriste ou d’un autre événement troublant nous fournit de l’information essentielle et utile. En effet, les médias peuvent nous renseigner sur ce qui se passe et sur les mesures que nous pourrions devoir prendre en raison des événements.
Mais être surexposé à la couverture médiatique d’événements troublants peut ajouter à notre détresse et nous rendre anxieux, nous et nos enfants.
Rendez-vous sur SynerVie, notre application de mieux-être, pour lire des conseils afin d’empêcher votre lecture des médias de contribuer à votre stress, à vous et à votre famille.
Consultez l’intranet pour de l’information sur votre première connexion.
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Dans les médias
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TVA Nouvelles, EurekAlert!
À découvrir...
Les personnes âgées de 70 ans et plus et le personnel des établissements de soins de longue durée devraient être parmi les premières personnes à être vaccinées contre la COVID-19. C’est ce qu’a indiqué à Santé Canada le Comité consultatif national sur l’immunisation (CCNI) dont la présidente est la Dre Caroline Quach. Fort rayonnement de cette annonce dans plusieurs médias.
A LIRE DANS...
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rad.ca
Pis, le moral?
La détresse psychologique en temps de COVID est bien réelle, particulièrement pour les jeunes. Le confinement peut peser pas mal plus lourd sur leur santé mentale. C’est ce que constate le Dr Benoit Mâssé qui affirme que ceux-ci ont à gérer deux choses, soit les effets de la COVID et le confinement.
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