Le bulletin d’information du CHU Sainte-Justine regroupant toutes les informations sur l’évolution de la situation de la COVID-19 |
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Vaccination de masse
La campagne de vaccination de masse a commencé. Elle vise entre autres à protéger l’une des clientèles les plus à risque, soit les 70 ans et plus.
Pendant ce temps, les chiffres de la contagion diminuent dans la population, mais la présence de plus de 1 000 cas de variants potentiels inquiète et pourrait inverser la tendance.
La diminution du niveau de risque de transmission passe par la vaccination; c’est ainsi que le ministre de la Santé et des Services sociaux Christian Dubé a annoncé que celle-ci sera intensifiée dans les endroits où les variants sont plus présents.
Alors que plusieurs espèrent un assouplissement significatif des mesures sanitaires après la semaine de relâche et surtout une reprise des sports collectifs, un an après le début de la pandémie, la situation est toujours sous haute surveillance.
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Nouvelles
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État de la situation
La situation de la COVID-19 au CHU Sainte-Justine est stable, le nombre de nouveaux cas parmi le personnel et les médecins demeurant le même que la semaine dernière. Notons cependant une légère augmentation au niveau des hospitalisations.
DONNÉES À JOUR EN DATE DU 2 MARS
PATIENTS
- Actuellement hospitalisés (excluant les soins intensifs)
3 patients
- Actuellement aux soins intensifs
0 patient
- Hospitalisés depuis le début de la pandémie
182 patients
PERSONNEL, MÉDECINS ET RÉSIDENTS
- Nouveaux cas positifs
4 cas
- Actuellement absents suite à un test positif
5 absents
- Cas positifs depuis le début
345 cas
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État de la situation - Vaccination COVID-19
La campagne de vaccination s’est poursuivie cette semaine avec l’ajout des stagiaires cliniques et des externes en médecine.
La vaccination se poursuivra le 8 mars pour les travailleurs prioritaires qui n’ont pas encore été vaccinés et les employés faisant partie des groupes visés par la campagne dans la population, soit les 70 ans et plus.
DONNÉES À JOUR EN DATE DU 2 MARS
PERSONNEL, MÉDECINS ET RÉSIDENTS
- Travailleurs vaccinés dans la dernière semaine
264
- Nombre total de travailleurs du CHU vaccinés
3 185
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Faciliter l’accès à la vaccination
La campagne de vaccination populationnelle s’adresse actuellement aux 70 ans et plus s’étendra à de nouveaux groupes de personnes selon les directives gouvernementales.
Au CHU Sainte-Justine, la vaccination se poursuit en continu pour les groupes prioritaires, dont les travailleurs de la santé. Pour faciliter l’accès à son personnel, La clinique de vaccination COVID-19 du CHU sera accessible aux employés faisant partie des groupes d’âge visés par la campagne populationnelle en vigueur.
À ce jour, les employés de 70 ans et plus ont eu la possibilité de se faire vacciner sur place. La campagne se poursuivra lorsque le gouvernement élargira la vaccination à un autre groupe d’âge. Des communications internes vous aviseront lorsque la vaccination sera offerte à de nouveaux groupes, en fonction des annonces gouvernementales.
Si vous faites partie d’un des groupes prioritaires (travailleurs de la santé en contact avec la clientèle ou employé de 70 ans et plus) et que vous n’avez pas été contacté, merci d’en aviser votre gestionnaire.
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Nouvelle modalités de prélèvement
Le prélèvement par gargarisme, légèrement moins sensible que l'écouvillon naso-pharyngé pour la détection du SARS-CoV-2, est maintenant approuvé pour le dépistage de la COVID-19 au CHU Sainte-Justine.
Les patients du CHU et du CRME admis ou en attente d’admission, ou ceux dépistés en prévision d’une chirurgie ou d’un rendez-vous en clinique externe ne sont pas éligibles pour un prélèvement par gargarisme.
Le prélèvement par gargarisme pourra être utilisé pour les employés et la population, toutefois si la technique est jugée inadéquate, un échantillon naso-pharyngé sera prélevé.
Les jeunes enfants (<6 ans) qui ne peuvent effectuer le gargarisme adéquatement continueront également d’être prélevés en naso-pharyngé.
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Dix façons de se remettre de ses difficultés
Rester résilient, c’est comme rester en forme, et tout comme la plupart des gens se sentent mieux lorsqu’ils sont en forme, les défis de la vie sont moins imposants lorsque l'on apprend à rester résilient.
Rendez-vous sur SynerVie, notre application de mieux-être, pour y découvrir 10 façons de se remettre des difficultés rencontrées au travail et à la maison.
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Dans les médias
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la Tribune numérique
Le mystère de la COVID longue
Le syndrome post-COVID suscite de plus en plus l’intérêt des chercheurs, même s'il n'y a pas encore de consensus sur sa définition. Pour le pédiatre Dr Olivier Drouin, en raison du peu de cas d'enfants ayant eu des manifestations sévères de la COVID, il est difficile d’estimer la prévalence de symptômes plus « chroniques ».
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Montreal Gazette
Le syndrome post-COVID chez les enfants, de plus en plus fréquent à Montréal
Toutefois, cela ne veut pas dire qu'il n'y a aucun cas de jeunes ayant souffert du syndrome de la COVID longue. En effet, le CHU Sainte-Justine a traité environ 60 jeunes atteints du syndrome post-COVID et les symptômes ressemblaient fort à ceux de la maladie de Kawasaki a constaté le Dre Marie-Paule Morin.
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La presse
La lutte contre les variants dans les écoles, c’est maintenant!
On a fait grand cas de l'étude réalisée dans deux écoles de la région montréalaise sur les tests de détection rapide de la COVID. Or, en entrevue avec un éditorialiste de la Presse, la Dre Caroline Quach a déjà dégagé certains constats. Les tests rapides ne semblent pas être la panacée quand on tente d’identifier les élèves asymptomatiques.
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La voix de l'est numérique
Début de la vaccination de masse : des questions et réponses
Depuis quelques jours, la vaccination de masse est en branle partout dans la province. Les personnes les plus âgées (70+) sont les premières appelées. Mais au fur et à mesure que tous les groupes d'âge suivront, quels seront les impacts sur notre vie? La Dre Caroline Quach répond aux questions de la Presse canadienne.
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La presse
Un passeport vaccinal, s'il vous plaît?
On a évoqué récemment l'idée d'émettre un passeport vaccinal aux citoyens ayant reçu leur vaccin. Outre les débats éthiques que cela soulève, « le vaccin ne garantit pas que vous ne serez pas infectés » affirme le professeur Benoit Mâsse.
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