Dans le cadre du 115e anniversaire du CHU Sainte-Justine, 115 personnes racontent leur histoire et comment l’établissement a marqué leur vie... Cet anniversaire souligne également les 85 ans d’existence du Centre de réadaptation Marie Enfant (CRME). Merci pour ces beaux témoignages, pour ces souvenirs de joie, de peine, de résilience et d’espoir. De nouvelles histoires à découvrir chaque mois!
« On ne comprenait pas ce qui se passait, c’était complètement inattendu. »
« Des cas comme celui de Maisam, ils en voient rarement, un tous les trois ans. »
« Un jour, une patiente m’a dit qu’avec mon sourire, je n’étais pas faite pour seulement servir du café. Ça m’a fait réfléchir. »
« J’ai dit à ma mère, qui connaissait la mère d’Antoine : ‘’ Non, jamais je ne sortirais avec lui ! Il était vert et il transportait une poche de sang ! ‘’ »
« Toutes ces années, mes parents ne pouvaient m’accompagner, j’étais presque toujours toute seule. »
« L’ensemble de l’équipe est 500 % dévoué aux patients et à leur famille. »
« Il y a eu quelques complications, beaucoup d’embûches… Les intestins d’Ariel ont été obstrués. »
« Grâce à tous les bons services que j’ai reçus à Sainte-Justine, je suis encore en vie et je peux réaliser un de mes plus grands rêves… »
« Zack est tellement dans le moment présent qu’il ne se soucie pas de ce qui arrive ou de ce qui est arrivé… »
« J’entends les infirmières me rassurer, je les vois fabriquer des lunettes à ma poupée pour me changer les idées dans la salle d’opération… »
« À l'anniversaire de la greffe, même après 21 ans, nous avons encore une pensée pour la famille du donneur. »
« Ils ont sauvé mon Lucas… mais ils m’ont sauvée moi aussi. »
« Il ne faut pas se laisser abattre ni accepter de se faire dire que c’est impossible. Ça ne l’est pas. »
« Même si c’est méconnu, la pharmacie est un maillon important dans un hôpital, elle a un impact sur tous les patients – et sur la plupart des soignants. »
« Quand on dit qu’on utilise un traitement ou une façon de faire à Sainte-Justine, ça a un poids dans le milieu universitaire. »
« Je ne voulais pas voir le pire. Mais les indices commençaient à pointer vers quelque chose de plus grave… »
« L’uniforme rose, le tablier empesé et la coiffe blanche ont été abandonnés depuis belle lurette à l’hôpital, mais les nouveaux pantalons et chandails colorés assurent une belle continuité. »
« À côtoyer tous les enfants, on n’a pas l’impression d’être dans un hôpital. »
« L’hôpital est au centre de ma vie : soit j’y travaille, soit j’y suis pour un rendez-vous avec ma fille. »
« C’était plus difficile avant… La technologie médicale a beaucoup évolué avec le temps. »
« C’est drôle à dire, mais j’en garde vraiment de bons souvenirs. »
« Je n’avais pas peur, même si j’avais une chance sur deux de mourir sur la table d’opération. »
« L’expérience que j’ai gagnée comme athlète de niveau international m’accompagne tous les jours depuis mon retour au travail. »
« Ça m’a brisé le cœur. Sainte-Justine, c’était vraiment une famille. Une famille que je voyais plus que ma famille à moi… »
« Le CHU Sainte-Justine est plus qu’un lieu de travail : c’est une véritable deuxième famille. »
Problème : un des deux jumeaux oublie de respirer quand il s’endort…
« Je vais longtemps me souvenir de ses câlins spontanés qui me faisaient littéralement fondre. »
« Parce que je parle plusieurs langues, j’ai souvent été appelée à aider des patients à communiquer avec le personnel. »
« Les médecins disaient qu’ils avaient fait tout ce qu’ils pouvaient, que la suite dépendait maintenant de la volonté du bébé de survivre… »
« Je me rappelle notre premier contact peau à peau, et les bains, quand c’était possible. »
« Toute l’équipe nous a accompagnés pendant les quatre heures de vie de Ludovic… »
« Après 10 jours aux soins intensifs, notre petit guerrier était debout en train de réapprendre à marcher ! »
« Je me rendais dans de nombreux départements : chirurgie, médecine pédiatrique, soins intensifs, soins obstétriques… J’ai tout appris ! »
« Je n’étais pas prête à abandonner mon bébé. »
Plus le temps passait, plus le nombre élevé de transfusions (plus d’une centaine) augmentait les risques d’accident vasculaire cérébral.
« Si je dois m’occuper de mon fils, s’est dit Claudine, je vais aller chercher de meilleurs outils et des formations. »
C’était lui, ce petit prématuré photographié autrefois !
« Je me souviens de m’être éveillée alors que j’étais attachée au brancard et que les ambulanciers me descendaient du deuxième étage, puis plus rien. »
« Les médecins ont annoncé à trois reprises à ma mère que j’allais mourir, qu’il n’y avait plus d’espoir pour moi. »
À 25 ans, Roxanne partage son vécu, elle donne espoir.
« Si tout ça fonctionne, c’est parce qu’on est une famille. Il n’y a pas de hiérarchie, on travaille tout le monde ensemble. »
« Il faut avoir de l’empathie, il faut avoir du plaisir à donner. »
« C’était il y a 30 ans… je ne peux qu’imaginer les progrès que la science et les soins ont faits depuis à Sainte-Justine ! »
« Je suis devenue une personne ultra-résiliente, ultra-positive, hyper-fonceuse. »
Sa grand-mère a finalement terminé sa carrière au département de la messagerie… exactement là où Chantal a commencé la sienne.
« Dans notre famille, on a tous eu un pied dans l’hôpital un jour ou l’autre, plus ou moins longtemps. »
« Alice déborde d’énergie, elle court partout – on rigole souvent en disant qu’ils l’ont ‘’ boostée ‘’ lors de son opération ! »
« Maintenant il court, il saute, il ‘’ se casse la gueule ‘’, comme un garçon normal! »
À cinq jours de vie, Théa a subi une chirurgie afin de replacer ses organes dans son abdomen et de créer un diaphragme artificiel…
« Quand j’avais enfin la chance de retourner chez moi, je devenais moi-même l’infirmière de mes toutous… »
« Grâce aux équipes de soins, je me suis sentie pleinement en confiance, malgré le niveau de stress que cette nouvelle a pu occasionner. »
« Ce dont je me souviens, c’est d’abord des gens très attentionnés, puis des murs et plafonds hyper-colorés. »
« Pour un des transferts, le docteur en charge était en congé, mais il a décidé de venir spécialement pour nous. »